« Après la crise sanitaire qui a profondément fragilisé la situation économique des acteurs du sport , la loi du 2 mars 2022 visant à démocratiser le sport en France a été adoptée. En autorisant les acteurs privés et fonds d’investissement à entrer au capital des sociétés commercialisant les droits d’exploitation des compétitions, elle a permis d’apporter la trésorerie dont beaucoup de clubs avaient besoin. Mais elle pourrait aussi avoir des conséquences majeures sur l’organisation des compétitions. »
Par Jean-François Vilotte (associé chez de Gaulle, Fleurance et associés), Alexis Tandeau (Avocat chez De Gaulle, Fleurance et Associés), Smaïn Guennad (avocat chez De Gaulle, Fleurance et Associés e), Arthur Roquebert (élève-avocat chez De Gaulle, Fleurance et Associés)
« Football, rugby : une nouvelle gouvernance est nécessaire »
Jean-François Vilotte, associé, propose dans une tribune publiée dans Les Echos, une ...
La divulgation de l’information privilégiée à des fins journalistiques : les indications de la CJUE par Alexis Tandeau, Avocat – Senior manager
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